Après Commando, l'Autrichien tourne, Le Contrat, souvent cité dans la filmographie d'Arnold Schwarzenegger, comme l'un de ses plus mauvais film, à cause notamment d'une critique assassine à l'époque et de son échec à sa sortie en salle. Réalisé par John Irvin, noble artisan dans le métier, connu pour Hamburger Hill, sur la guerre au Viêt Nam.
L'histoire présente Mark Kaminsky, ancien du FBI, infiltrant sous une fausse identité la mafia de Chicago. L'ex-agent est engagé par son ancien patron qui le charge de retrouver, d'éliminer l'organisation et le traître, responsable de la mort de son fils.
D'un point de vu scénario, Le Contrat est à mi-chemin entre le film de mafieux et un polar urbain. Son écriture est sans grande originalité dans son déroulement linéaire. Possédant quelques rares punchlines balancés entre Robert Davi & Schwarzy, tombent malheureusement à l'eau, le ton général étant trop premier degré.
Affiche Américaine |
Le long-métrage est assez violent, ça saigne, le sang gicle et bave… Bref John Irvin offre certainement à Arnold Schwarzenegger un des rôles les plus violents de sa carrière.
Alors que Commando avait une violence graphique exagéré, voir caricatural, Le Contrat offre quatre à cinq scènes de fusillades, comme la destruction spectaculaire d'une raffinerie de pétrole (portant le nom du réalisateur : Irvin), la séquence de mitraillage dans une carrière appartenant à la pègre sur fond de Satisfaction des Rolling Stones, hommage raté à Martin Scorsese ou encore le carnage finale dans le casino ou l'action monte crescendo avec de gros impacts de balles dans les ennemis et sur les murs... Tout cela fleure bon les années 80.
La mise-en-scène efficace avec son lot de fusillades lisibles. John Irvin, met en valeur l'Autrichien avec plusieurs plans iconiques. Le cinéaste, intègre une séquence de préparation du matériel à la manière de Commando.
Outre un Arnold Schwarzenegger, peu convaincant, avec sa carrure de bodybuidler en agent infiltré gominé intégrant la mafia. Le reste du casting possède une belle galerie de gueule d'acteur, Robert Davi (James Bond : Permis de tuer) porte-flingue rivale de Schwarzy, et Paul Shenar, le mythique Alejandro Sosa de Scarface, en bras droit du parrain.
Alors que Commando avait une violence graphique exagéré, voir caricatural, Le Contrat offre quatre à cinq scènes de fusillades, comme la destruction spectaculaire d'une raffinerie de pétrole (portant le nom du réalisateur : Irvin), la séquence de mitraillage dans une carrière appartenant à la pègre sur fond de Satisfaction des Rolling Stones, hommage raté à Martin Scorsese ou encore le carnage finale dans le casino ou l'action monte crescendo avec de gros impacts de balles dans les ennemis et sur les murs... Tout cela fleure bon les années 80.
La mise-en-scène efficace avec son lot de fusillades lisibles. John Irvin, met en valeur l'Autrichien avec plusieurs plans iconiques. Le cinéaste, intègre une séquence de préparation du matériel à la manière de Commando.
Outre un Arnold Schwarzenegger, peu convaincant, avec sa carrure de bodybuidler en agent infiltré gominé intégrant la mafia. Le reste du casting possède une belle galerie de gueule d'acteur, Robert Davi (James Bond : Permis de tuer) porte-flingue rivale de Schwarzy, et Paul Shenar, le mythique Alejandro Sosa de Scarface, en bras droit du parrain.
Le Contrat est un Actionners sans prétention, purement bourrin, typique des années 80 avec une histoire déjà-vu. Ce long-métrage, peu populaire, est à redécouvrir, à réévaluer pour les amateurs du genre ou à conseiller aux fans de Schwarzenegger.
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