Direct-To-Video haut de gamme produit par Paul W.S Anderson, créateur de licence cinématographique à succès comme la saga Resident Evil. Le tout sous la houlette d'Universal Home Entertainment. Le récit est une préquelle retraçant l'histoire de Frankenstein et la création de la Course à la Mort .
Carl "Luke" Lucas, chauffeur pour des braquages se fait arrêter par la police après une course poursuite. Notre homme est transféré sur la prison de Terminal Island, ou se trouve les pires délinquants. Un jeu télévisé de gladiateur moderne "Death match", diffusé à travers les États-unis, se déroule dans l'enceinte de la prison mais les audiences baissent de plus en plus. La directrice de programmation September Jones renouvelle le genre avec "la course à la mort". Notre héros devra utiliser ses capacités de pilote pour retrouver sa liberté. Mais sa tête est mise à prix par son ancien patron Markus Kane avec une prime d'un million de dollar à la clés...
Cette préquelle de la Course à la Mort, complète assez bien le long-métrage de Paul W.S Anderson, en apportant des éléments supplémentaires dans son univers. Le spectateur suit donc pendant un quart d'heure, Carl Lucas, chauffeur pour un braquage, qui malheureusement tourne mal, avec à la clés une fusillade et une course poursuite en mustang Shelby. Dans ces premières minutes, nous nous rendons vite compte que l'on est bien loin des productions paumées, tournées en Bulgarie ou Roumanie de Dolph Lundgren ou Steven Seagal, la mise-en-scène à vraiment un cachet cinématographique, le cinéaste film de façon classique utilisant des cadres et des poses efficace, même si le montage est un peu trop cut sur certains passages, avec l'utilisation abusive de la shaky-cam de temps à autre. Le pseudo-message politique du premier opus est abandonné ici, remplacé par un pur Actionner façon 80's.
Une fois en prison, Carl Lucas, interprété avec brio par Luke Ross, se retrouve dans un univers carcéral, la prison de Terminal Island est beaucoup plus violente et sombre que celle de la Course à la Mort. Les personnages possèdent de véritable gueules de psychopathe, n'hésitant pas à tuer sans scrupule ... Ça ne rigole pas. Pendant trente minutes, le spectateur n'assiste à aucune course de voiture, car avant c'était "Death Match", un jeu de gladiateur moderne rappelant The Running Man. Le divertissement possède les mêmes règles, (épée) armes et (bouclier) défenses.
Death Race 2, prend son temps pour raconter son récit, la genèse n'est pas bâclée, au bout d'une heure arrive, les premières courses font leur apparition marquant ainsi la transition avec le premier long-métrage, les nouveaux bolides au design proche d'un Mad Max. Sans oublier, la naissance de Frankenstein est montré de manière iconique.
Bien-sûr, quelques défauts techniques sont visibles, les vues de cockpit assez statique, certains raccords approximatif. Un Direct-To-Video maîtrisé dans sa réalisation globale avec des effets-visuels vraiment réussis.
La galerie de personnage est bien développée, même si certains comédiens font acte de présence pour le cacheton, on retrouve donc Ving Rhames (Mission Impossible) en costume trois pièces se prenant pour dieu, dirigeant Weyland Corporation, cette société n'a aucun rapport avec la saga Alien. L'acteur à une des meilleurs répliques : "You see this : it's a stupid bitch". Danny Trejo (Machete) reprend le rôle de chef-mécano de Ian Mc Shane & Sean Bean (Game of Throne, Le Seigneur des Anneaux : La Communauté de l'Anneau) joue un parrain sociopathe.
Digne suite de la Course à la Mort, Death Race 2 est un excellent direct-to-video, le spectateur passe un agréable moment devant cet honnête B-Movie, avec un brin de violence. Du bon cinéma d'exploitation comme on n'en fait plus ou trop rarement de nos jours... Vivement le troisième opus.
Carl "Luke" Lucas, chauffeur pour des braquages se fait arrêter par la police après une course poursuite. Notre homme est transféré sur la prison de Terminal Island, ou se trouve les pires délinquants. Un jeu télévisé de gladiateur moderne "Death match", diffusé à travers les États-unis, se déroule dans l'enceinte de la prison mais les audiences baissent de plus en plus. La directrice de programmation September Jones renouvelle le genre avec "la course à la mort". Notre héros devra utiliser ses capacités de pilote pour retrouver sa liberté. Mais sa tête est mise à prix par son ancien patron Markus Kane avec une prime d'un million de dollar à la clés...
Cette préquelle de la Course à la Mort, complète assez bien le long-métrage de Paul W.S Anderson, en apportant des éléments supplémentaires dans son univers. Le spectateur suit donc pendant un quart d'heure, Carl Lucas, chauffeur pour un braquage, qui malheureusement tourne mal, avec à la clés une fusillade et une course poursuite en mustang Shelby. Dans ces premières minutes, nous nous rendons vite compte que l'on est bien loin des productions paumées, tournées en Bulgarie ou Roumanie de Dolph Lundgren ou Steven Seagal, la mise-en-scène à vraiment un cachet cinématographique, le cinéaste film de façon classique utilisant des cadres et des poses efficace, même si le montage est un peu trop cut sur certains passages, avec l'utilisation abusive de la shaky-cam de temps à autre. Le pseudo-message politique du premier opus est abandonné ici, remplacé par un pur Actionner façon 80's.
Death Race 2, prend son temps pour raconter son récit, la genèse n'est pas bâclée, au bout d'une heure arrive, les premières courses font leur apparition marquant ainsi la transition avec le premier long-métrage, les nouveaux bolides au design proche d'un Mad Max. Sans oublier, la naissance de Frankenstein est montré de manière iconique.
Bien-sûr, quelques défauts techniques sont visibles, les vues de cockpit assez statique, certains raccords approximatif. Un Direct-To-Video maîtrisé dans sa réalisation globale avec des effets-visuels vraiment réussis.
La galerie de personnage est bien développée, même si certains comédiens font acte de présence pour le cacheton, on retrouve donc Ving Rhames (Mission Impossible) en costume trois pièces se prenant pour dieu, dirigeant Weyland Corporation, cette société n'a aucun rapport avec la saga Alien. L'acteur à une des meilleurs répliques : "You see this : it's a stupid bitch". Danny Trejo (Machete) reprend le rôle de chef-mécano de Ian Mc Shane & Sean Bean (Game of Throne, Le Seigneur des Anneaux : La Communauté de l'Anneau) joue un parrain sociopathe.
Digne suite de la Course à la Mort, Death Race 2 est un excellent direct-to-video, le spectateur passe un agréable moment devant cet honnête B-Movie, avec un brin de violence. Du bon cinéma d'exploitation comme on n'en fait plus ou trop rarement de nos jours... Vivement le troisième opus.
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