Après les échecs d'A la dérive & Revolver. Guy Ritchie, renoue avec la comédie de gangster avec Rock'n rolla, polar dans la digne ligné d'Arnaque crime et botanique & Snatch : Tu braques ou tu raques.
Caïd à l'ancienne, Lenny Cole, n'hésite pas à verser des pots-de-vins, aux fonctionnaires hauts-placés Britanniques ou à des promoteurs immobiliers. Le vieux brigand se fait respecter par les jeunes voyous. Mais Londres est en train de changer petit à petit, comme lui souligne Archy son fidèle lieutenant, les milliardaires Russes, débarquent dans la capitale Anglaise. Un oligarque du nom d'Uni Omovich offre sept millions de livre sterling au vieux truand, pour un permis de construire, lui prêtant par la même occasion son tableau porte bonheur. La comptable de l'homme d'affaire Slave, Stella, engage deux petits malfrats de la horde sauvage, "One Two" & "Mumbles", pour dérober l'argent…
L'intrigue et l'ambiance de Rock'n rolla, sont assez proche d'Arnaque Crime et botanique, avec ses situations burlesques, de nombreux quiproquos et des dialogues succulent. Comme à l'accoutumée dans la plupart de ses oeuvres, le cinéaste Anglais a brossé une belle galerie de personnages, ou les magouilles sont reines, s'arnaquant tous entre eux.
Le spectateur suit donc de petite frappe Londoniennes, leur nom "la horde sauvage". -référence évidente au long-métrage de Sam Peckinpah - Ces escrocs vivent en accomplissant plusieurs petits boulots, pour différents clients : Du vieux truand Lenny, en passant par Stella, la jolie comptable du milliardaire Russe.
Guy Ritchie, brouille souvent les pistes, sans jamais nous perdre en cours de route. L'un des seuls reproche est le développement assez tardif de Johnny Quid, ce rockeur junkie décérébré aux énormes capacités malgré ses apparences. Mais le spectateur s’aperçoit assez vite que ce dernier contrôle la situation, devenant ainsi dans le dernier quart d'heure, l'issue et la conclusion de Rock'n rolla.
La touche du cinéaste est bien présente. Avec un générique à l'aspect graphique, la mise-en-scène stylisée prend tout son sens, avec la seconde mission tordante de "la horde sauvage", narrée par One Two.
L'un des éléments intelligents de Guy Ritchie est de jamais montrer l’illustration du tableau du milliardaire Russe. La photographie un peu terne, colle parfaitement à l’atmosphère austère de la capitale Anglaise. Rock'n rolla est soutenue par une excellente bande originale survoltée avec du Lou Reed, Kim Fowley, The Hives…
Du côté des comédiens, on retrouve un casting presque 100% British, à deux, trois acteurs prêts. Gérard Butler est excellent en escroc semi-looser, épaulé par Idris Elbas de la série télévisée Luther et Tom Hardis. Mark Strong, (Sherlock Holmes) en bras droit du vieux truand joué par Tom Wikilson. Jeremy Pivens est présent, s'échappant un court instant d'Entourage.
Rock'n rolla est un polar Anglais, plaisant, bénéficiant d'une bonne mise-en-scène, d'acteur solide et d'une excellente bande son. Vivement la suite des aventures de "la Horde Sauvage".
Caïd à l'ancienne, Lenny Cole, n'hésite pas à verser des pots-de-vins, aux fonctionnaires hauts-placés Britanniques ou à des promoteurs immobiliers. Le vieux brigand se fait respecter par les jeunes voyous. Mais Londres est en train de changer petit à petit, comme lui souligne Archy son fidèle lieutenant, les milliardaires Russes, débarquent dans la capitale Anglaise. Un oligarque du nom d'Uni Omovich offre sept millions de livre sterling au vieux truand, pour un permis de construire, lui prêtant par la même occasion son tableau porte bonheur. La comptable de l'homme d'affaire Slave, Stella, engage deux petits malfrats de la horde sauvage, "One Two" & "Mumbles", pour dérober l'argent…
L'intrigue et l'ambiance de Rock'n rolla, sont assez proche d'Arnaque Crime et botanique, avec ses situations burlesques, de nombreux quiproquos et des dialogues succulent. Comme à l'accoutumée dans la plupart de ses oeuvres, le cinéaste Anglais a brossé une belle galerie de personnages, ou les magouilles sont reines, s'arnaquant tous entre eux.
Le spectateur suit donc de petite frappe Londoniennes, leur nom "la horde sauvage". -référence évidente au long-métrage de Sam Peckinpah - Ces escrocs vivent en accomplissant plusieurs petits boulots, pour différents clients : Du vieux truand Lenny, en passant par Stella, la jolie comptable du milliardaire Russe.
Guy Ritchie, brouille souvent les pistes, sans jamais nous perdre en cours de route. L'un des seuls reproche est le développement assez tardif de Johnny Quid, ce rockeur junkie décérébré aux énormes capacités malgré ses apparences. Mais le spectateur s’aperçoit assez vite que ce dernier contrôle la situation, devenant ainsi dans le dernier quart d'heure, l'issue et la conclusion de Rock'n rolla.
La touche du cinéaste est bien présente. Avec un générique à l'aspect graphique, la mise-en-scène stylisée prend tout son sens, avec la seconde mission tordante de "la horde sauvage", narrée par One Two.
L'un des éléments intelligents de Guy Ritchie est de jamais montrer l’illustration du tableau du milliardaire Russe. La photographie un peu terne, colle parfaitement à l’atmosphère austère de la capitale Anglaise. Rock'n rolla est soutenue par une excellente bande originale survoltée avec du Lou Reed, Kim Fowley, The Hives…
Du côté des comédiens, on retrouve un casting presque 100% British, à deux, trois acteurs prêts. Gérard Butler est excellent en escroc semi-looser, épaulé par Idris Elbas de la série télévisée Luther et Tom Hardis. Mark Strong, (Sherlock Holmes) en bras droit du vieux truand joué par Tom Wikilson. Jeremy Pivens est présent, s'échappant un court instant d'Entourage.
Rock'n rolla est un polar Anglais, plaisant, bénéficiant d'une bonne mise-en-scène, d'acteur solide et d'une excellente bande son. Vivement la suite des aventures de "la Horde Sauvage".
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