Le 16 décembre 1978, sortait sur les écrans japonais le 1er film de Lupin III, intitulé "Lupin III : Le secret de Mamo", réalisé par Soji Yoshikawa, scénariste sur Conan fils du futur.
On retrouve, dans l'équipe, deux autres noms, Yasuo Ôtsuka occupe le poste de directeur principal, on remarque immédiatement, sa touche sur le soin apporté aux véhicules & Yûzô Aoki à l'animation (Panda Ko Panda) . Le long-métrage rapporta, lors de sa sortie 900 millions de yens de recettes.
Le film oscille entre des hommages aux films de James Bond, avec ce milliardaire mégalomane digne de la période Roger Moore, on retrouve aussi des gros clins d'oeil à Duel de Steven Spielberg et même à 2001, l'Odyssé de l'espace de Stanley Kubrick. La mise en scène, est rempli de délire psychédélique, notamment sur l'ile de Mamo.
On retrouve, dans l'équipe, deux autres noms, Yasuo Ôtsuka occupe le poste de directeur principal, on remarque immédiatement, sa touche sur le soin apporté aux véhicules & Yûzô Aoki à l'animation (Panda Ko Panda) . Le long-métrage rapporta, lors de sa sortie 900 millions de yens de recettes.
Le film oscille entre des hommages aux films de James Bond, avec ce milliardaire mégalomane digne de la période Roger Moore, on retrouve aussi des gros clins d'oeil à Duel de Steven Spielberg et même à 2001, l'Odyssé de l'espace de Stanley Kubrick. La mise en scène, est rempli de délire psychédélique, notamment sur l'ile de Mamo.
Le long-métrage est digne du manga de Monkey Punch dont il signe, d'ailleurs le scénario. Le trait pulp des personnages est respecté avec ce petit aspect crayonné. Le coté érotique est aussi de mise, avec le personnage de Fujiko Mine. La réalisation est de qualité assez extraodinaire par rapport au standards de l'époque. A la musique, on retrouve le compositeur, Yuji Ohno qui officie déjà sur la série Shin Lupin III, avec en générique d'introduction, le thème culte de la saga.
A noter que le film est sorti en France au cinéma dans les années 80, sous le nom de "Lupin III", avant l'imbroglio-judiciaire par les héritiers de Maurice Leblanc, d'ailleurs notre héros s'appelle : Arsène Lupin III, dans le premier doublage.
On passe un excellent moment sur ce film qui respire l'esprit pulp des seventies, digne héritier de Mad Magazine et de son auteur, avec ce coté érotico-psyché. Pour un premier long-métrage de Lupin III, la TMS produit un excellent divertissement, bien encré dans son époque.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire