Oeuvre de Will Eisner, auteur, dessinateur & figure incontournable du "Graphic Novel", appelé plus communément comics-book. Ce maître est l'équivalent Outre-Atlantique d'Osamu Tezuka dans le monde du manga. Les deux auteurs ont un point commun, un prix à leur nom est attribué aux jeunes auteurs talentueux.
The Spirit est née le 2 Juin 1940 dans les pages du dimanche de Register and tribute Syndicate. héros a jamais ancré dans la culture populaire, source d’inspiration majeur pour de nombreux autres auteurs. Qui d'autre que Frank Miller, aurait pu offrir une relecture au personnage ?! Sans doute personne, Le réalisateur est l'un des élèves du maître, tout les éléments sont désignés pour réaliser ce film.
The Spirit, personnage à la capacité immortelle, rode dans la ville de Central City pour tenter de déceler le plan machiavélique de sa Némésis : Le professeur Octopus, invincible, lui aussi. Notre héros retrouve lors de son investigation la trace de son vieille amour de jeunesse, la sublime Sand Saref, devenu depuis une voleuse hors-paire.
Le scénario n'est malheureusement pas le point fort de The Spirit, l'intrigue est sans enjeux, le long-métrage devient mollasson au milieu avec de long dialogue entre Octopuss et The spirit rallongeant la durée inutilement. Franck Miller rattrape ces quelques moments ennuyant avec des idées folles comme les différents clones idiots voir handicapés mentaux mourant de façons différentes à chaque fois, les expériences biologiques ratées d'Octopuss comme le pied sauteur avec la tête d'un clone finissant dans un mixeur, le chaton mignon avalant de l'acide ou encore notre héros retrouvant Sand Saref, grâce à la photocopie de ses fesses... Bref du pur Frank Miller.
Le spectateur est devant une oeuvre 100% "Millerienne". Le choix graphique est proche de Sin City signé du tâcheron Robert Rodriguez, n'espérer pas voir un long-métrage dans la lignée de ce dernier en terme d'action.
Frank Miller respecte l'esprit du comics-book de Will Eisner, les habitués du personnage retrouvent une comédie fantastique lorgnant du côté du film noir. Le personnage d'Ebony White n’apparaît pas dans cette adaptation.
Le pari était loin d’être gagné, le style de l'auteur / graphiste et maintenant réalisateur est assez loin de celui de la bande dessinée originale, ses personnages sont massifs possédants des visages expressifs et durs, les femmes ont des formes sculpturales. Les différents combats cartoonesques entre The Spirit & Octopuss font penser aux cartoons de Warner Bros. Le générique de fin contient de jolie illustration en noir & blanc de l'artiste.
The Spirit est un véritable long-métrage proche d'un comics-book, chaque mouvements, chaque cadres font penser à une planche de Frank Miller pour le plus grand plaisir des amateurs de l'auteur. L'artiste met sa touche personnelle, n’hésitant pas à s'auto-citer dans quelques répliques comme celle d'Eva Mendes citant Batman & Robin en dénigrant ce dernier, les habits d'officier S.S de Samuel L. Jackson et Scarlett Johansson comme dans son All Star Batman ou encore le décors japonais rappelant sa passion pour les samouraïs.
Le long-métrage de Frank Miller, est un pur comics-book sur grand écran, le choix esthétique avec un cadrage rappelant les planches sorties tout droit d'un Batman. Malheureusement le réalisateur ne sachant pas comment retomber sur ses pieds, The Spirit, peine à trouver des liens entre les différentes histoires. Heureusement le casting de femmes fatales et le personnage caricaturale de Samuel L. Jackson avec ses punchlines d'enfer, tiennent le spectateur en éveil.
The Spirit est née le 2 Juin 1940 dans les pages du dimanche de Register and tribute Syndicate. héros a jamais ancré dans la culture populaire, source d’inspiration majeur pour de nombreux autres auteurs. Qui d'autre que Frank Miller, aurait pu offrir une relecture au personnage ?! Sans doute personne, Le réalisateur est l'un des élèves du maître, tout les éléments sont désignés pour réaliser ce film.
The Spirit, personnage à la capacité immortelle, rode dans la ville de Central City pour tenter de déceler le plan machiavélique de sa Némésis : Le professeur Octopus, invincible, lui aussi. Notre héros retrouve lors de son investigation la trace de son vieille amour de jeunesse, la sublime Sand Saref, devenu depuis une voleuse hors-paire.
Le scénario n'est malheureusement pas le point fort de The Spirit, l'intrigue est sans enjeux, le long-métrage devient mollasson au milieu avec de long dialogue entre Octopuss et The spirit rallongeant la durée inutilement. Franck Miller rattrape ces quelques moments ennuyant avec des idées folles comme les différents clones idiots voir handicapés mentaux mourant de façons différentes à chaque fois, les expériences biologiques ratées d'Octopuss comme le pied sauteur avec la tête d'un clone finissant dans un mixeur, le chaton mignon avalant de l'acide ou encore notre héros retrouvant Sand Saref, grâce à la photocopie de ses fesses... Bref du pur Frank Miller.
Le spectateur est devant une oeuvre 100% "Millerienne". Le choix graphique est proche de Sin City signé du tâcheron Robert Rodriguez, n'espérer pas voir un long-métrage dans la lignée de ce dernier en terme d'action.
Frank Miller respecte l'esprit du comics-book de Will Eisner, les habitués du personnage retrouvent une comédie fantastique lorgnant du côté du film noir. Le personnage d'Ebony White n’apparaît pas dans cette adaptation.
Le pari était loin d’être gagné, le style de l'auteur / graphiste et maintenant réalisateur est assez loin de celui de la bande dessinée originale, ses personnages sont massifs possédants des visages expressifs et durs, les femmes ont des formes sculpturales. Les différents combats cartoonesques entre The Spirit & Octopuss font penser aux cartoons de Warner Bros. Le générique de fin contient de jolie illustration en noir & blanc de l'artiste.
The Spirit est un véritable long-métrage proche d'un comics-book, chaque mouvements, chaque cadres font penser à une planche de Frank Miller pour le plus grand plaisir des amateurs de l'auteur. L'artiste met sa touche personnelle, n’hésitant pas à s'auto-citer dans quelques répliques comme celle d'Eva Mendes citant Batman & Robin en dénigrant ce dernier, les habits d'officier S.S de Samuel L. Jackson et Scarlett Johansson comme dans son All Star Batman ou encore le décors japonais rappelant sa passion pour les samouraïs.
Le long-métrage de Frank Miller, est un pur comics-book sur grand écran, le choix esthétique avec un cadrage rappelant les planches sorties tout droit d'un Batman. Malheureusement le réalisateur ne sachant pas comment retomber sur ses pieds, The Spirit, peine à trouver des liens entre les différentes histoires. Heureusement le casting de femmes fatales et le personnage caricaturale de Samuel L. Jackson avec ses punchlines d'enfer, tiennent le spectateur en éveil.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire